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Comment mener des discussions efficaces qui développent la pensée critique.
Imagine que tu participes à une discussion où un avis contraire à tes convictions est exprimé. Que feras-tu en premier ?
Je me dis que ce n'est qu'un avis, pas un fait, et j'écoute encore.
Je vais commencer à formuler un argument que je pourrais utiliser pour le réfuter.
Je ressens le besoin d'intervenir immédiatement et de montrer qu'il a tort.
Je vais réfléchir à ce qui pourrait amener cette personne à un tel avis.
Je vais commencer à remettre en question mon propre point de vue.
Comment imagines-tu une discussion de groupe idéalement animée ?
Chacun a le même espace pour s'exprimer.
La discussion est animée par quelqu'un d'expérimenté, qui la maintient dans un cadre clair.
La discussion est vivante, pleine de défis et de confrontations.
Une réflexion silencieuse significative est tout aussi importante que le discours.
Il est important d'arriver à un résultat concret à la fin.
Dans le groupe, quelqu'un interrompt souvent les autres. Comment réagis-tu ?
J'attendrai de voir si le groupe résout cela tout seul.
Par une allusion ou une question, je ferai référence à ce modèle.
Je vais me concentrer sur la personne qui a été interrompue et je lui redonne de l'espace.
L'inconfort me dérange, mais je préfère ne rien dire.
Je considère cela comme un déroulement naturel de la dynamique.
Quand tu dois mener une discussion sur un sujet inconnu, qu'est-ce qui te motive le plus ?
Curiosité, ce que je peux apprendre des autres.
Possibilité de relier le sujet à quelque chose que je connais déjà.
Potentiel d'influencer la perspective du groupe.
Le sentiment de pouvoir m'exprimer sans jugement.
Défi de maintenir l'attention et l'énergie du groupe.
Si quelqu'un reste silencieux pendant la discussion, que penses-tu ?
Il peut réfléchir plus profondément que les autres.
Tout le monde n'a pas à s'impliquer verbalement.
Il devrait être invité à contribuer.
Il ne se sent probablement pas en sécurité.
Peut-être que le sujet ne l'intéresse pas du tout.
Comment fais-tu face au fait que ton opinion a été rejetée ?
Je perçois cela comme une opportunité d'élargir ma perspective.
J'essaie de trouver un moyen de le formuler mieux.
J'ai envie de me retirer et de ne plus parler.
Je cherche l'erreur en moi – où je ne l'ai pas saisi.
Le refus me motive à défendre ma position plus fermement.
Quel environnement, selon toi, favorise vraiment une discussion profonde ?
Silencieux, concentré et respectueux.
Plein de questions, pas de réponses.
Sans hiérarchie, chacun a le même poids.
Dans lequel tout est enregistré et visualisé.
Où l'accent est mis sur l'expérience personnelle.
Lors de la discussion, quelqu'un partage un point de vue fortement émotionnel. Comment réagis-tu ?
Je perçois cela comme un moment important qu'il faut respecter.
Je reconnaîtrai son émotion, mais je ramènerai le sujet aux faits.
Je me concentre sur ce qu'il veut vraiment me dire.
J'essaie de dédramatiser le sujet rapidement.
J'évite cela, je ne me sens pas à l'aise.
Comment travailles-tu avec un groupe où chacun essaie d'imposer son opinion ?
Je donne de l'espace à ceux qui parlent moins.
Je crée un cadre commun où les opinions peuvent être comparées.
Je demande : qu'est-ce qui pourrait nous unir ?
Je laisserai la discussion passer par le chaos jusqu'à ce qu'elle se stabilise naturellement.
J'oriente la discussion vers un objectif commun.
Quand tu as l'impression que quelque chose n'a pas de sens, que fais-tu ?
Je demande tout de suite, pour que je comprenne.
J'observe si cela dérange aussi les autres.
J'essaie de le deviner moi-même.
Je prends cela comme une chance de diriger la discussion dans une autre direction.
Parfois, je me retire simplement et j'attends où cela mène.
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